C’est en cherchant de l’inspiration pour un nouvel article que je me suis retrouvé à parcourir le blog J2S pour trouver une idée… jusqu’à ce que je réalise la diversité et la profondeur des sujets abordés, ce qui m’a donné envie de vous présenter une synthèse des différents modes de production exploités par nos clients et la flexibilité de Simple Workspace.
En effet, la diversité des contextes et usages adressés par Simple Workspace est étonnante : agréger des flux de données, rédiger, transformer, traduire, automatiser, collaborer, mettre en page, relire, publier, etc.
Comme le décrit l’article Simple Workspace ou l’usine connectée, il s’agit bien d’une usine « flexible », susceptible de gérer des cycles de production de longue durée et fruits de nombreuses interactions, quand d’autres cycles entièrement automatisées s’étalent sur de très courtes périodes, voire même sont en temps réel.
L’usine est flexible, cependant elle s’appuie sur des invariants : difficile de produire sans matière première ! Dans notre cas, la matière première est constituée des données à traiter, qu’il s’agisse d’alimenter un site web, ou de produire des fichiers pour un autre logiciel, ou encore de produire un catalogue ou un livre.
Et comme dans toute usine, on retrouve à l’entrée et à différents étages de la production des stocks initiaux ou intermédiaires, qui seront utilisés par les opérations pour finalement aboutir au « produit fini », dans notre cas les données à délivrer en sortie selon la ou les cibles.
Comme une usine, une rupture de stock bloque tout ou partie de la production.
C’est ici que l’analogie entre une usine « traditionnelle » et Simple Workspace devient intéressante : nos clients ont-ils besoin d’une usine ou d’un atelier d’art ? En fait, Simple Workspace est un logiciel et à ce titre, est plus souple qu’une usine « physique », ce qui lui permet d’être les deux à la fois, et l’on va voir que c’est nécessaire.
Simple Workspace peut être intégralement automatisé pour prendre des données en entrée et produire un résultat immédiat en « temps réel ». C’est ce qui se passe par exemple lorsqu’on demande à Simple Workspace de produire à la volée des étiquettes ou du balisage ou encore des fiches produits : les documents sont générés à la volée. À ce stade, on souhaite en général qu’une absence de donnée (par exemple, une photo manquante sur un produit) soit repérée (par exemple, un message pour indiquer le problème, ou une publication avec un manque).
On retrouve une approche analogue dans le cas de la production itérative de catalogues ou livres automatisés : une absence ou un contrôle qualité refusé doit se traduire par un message clair de manière à ce que les données puissent être ajustées en conséquence avant de réitérer.
Cependant, on peut demander beaucoup plus à Simple Workspace au travers de son paramétrage, et notamment la prise en charge des flux qui vont permettre de combler les manques.
C’est ici que l’analogie avec une usine « traditionnelle » s’arrête et que l’on entre plutôt dans le concept de l’atelier d’art.
En effet et en général, chaque élément produit par Simple Workspace est unique : l’image d’un produit lui est propre et ne peut être utilisée par un autre produit. D’un autre côté, les processus sont similaires, et l’absence d’une image sur un produit peut être traitée par un même processus, comme celui-ci :
- Création d’une « demande » d’image (pour le produit concerné, avec peut-être des spécifications liées, par exemple : liste des coloris à couvrir), cette demande étant matérialisée par une prévisualisation « en attente » (permettant à la fiche produit et à ses représentations graphiques d’indiquer son statut).
- La demande peut faire l’objet d’une affectation automatique, par exemple être transférée en tant que commande au studio photo ou à l’atelier 3D, à charge pour eux de répondre à la commande avec des photos ou des images, lesquelles entreront peut être dans un circuit de validation de la livraison.
- Ou passer par un étage intermédiaire, par exemple recherche dans un DAM, ou affectation à tel studio ou tel autre, ou encore recherche dans un fond d’image externe. Cet étage intermédiaire peut être l’occasion de compléter la commande (par exemple, gestion des dates et échantillons pour les prises de vues, etc.)
Nous avons pris pour exemple la notion d’image manquante pour illustrer la flexibilité de Simple Workspace ; mais les mêmes concepts s’appliquent à toutes les notion connues de Simple Workspace, comme typiquement les traductions, qu’il s’agisse de traduire des pages (ce qui produit des « morceaux de textes » à traduire, voire des images à traduire) ou de traduire des fiches produits (des « champs de texte » à traduire) pour par exemple alimenter des sites web marchands.
C’est ainsi que Simple Workspace, connu pour produire des documents à publier est régulièrement utilisé pour gérer la complétion des données, en amont des productions ou durant les productions.
Alors, usine ou pas ? En tout cas, il s’agit de gestion de production !
Prenez contact avec nous : nous serons ravis d’échanger.
D. Lantier
Business Developer